Julian Assange retrouve la liberté : fin d’une saga judiciaire longue de 14 ans 🚨

Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, après une incarcération prolongée, a quitté le sol britannique pour les îles Mariannes. Cette libération fait suite à un accord avec la justice américaine, où Assange plaidera coupable pour un chef d’accusation, mais sera considéré comme ayant déjà purgé sa peine grâce aux années passées en détention.

🛫 Une libération spectaculaire : Dans un revirement dramatique, Assange a été libéré de la prison de haute sécurité de Belmarsh le 24 juin, après y avoir passé 1 901 jours. Transporté directement à l’aéroport de Stansted par un convoi sécurisé, il a pris un vol quittant le Royaume-Uni, marquant potentiellement la fin de sa bataille juridique.

🎉 Réactions et soutien : La nouvelle de sa libération a été accueillie avec joie et soulagement par ses proches et ses nombreux soutiens à travers le monde, exprimant leur gratitude pour les efforts déployés pour atteindre ce résultat. Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a également salué cette issue, affirmant qu’il était temps que l’affaire se conclue.

🇺🇸 Encore une étape judiciaire : Malgré sa libération, Assange doit encore se présenter devant un tribunal américain dans les îles Mariannes pour finaliser l’accord de plaider coupable, avant de pouvoir retourner librement en Australie. Ce passage est crucial pour officialiser son statut légal et clore définitivement les poursuites américaines.

📁 Les charges et Les conséquences : Assange a été accusé par le gouvernement américain de conspiration liée à la publication de documents classifiés, une affaire qui a mis en lumière les pratiques controversées de l’armée américaine et déclenché un débat mondial sur la liberté de presse et le droit à l’information.

🔒 Un long confinement : Avant sa détention au Royaume-Uni, Assange avait trouvé refuge pendant sept ans à l’ambassade d’Équateur à Londres, cherchant à éviter une extradition vers les États-Unis où il aurait pu faire face à une peine de 175 ans pour espionnage.